Restauration Peugeot 301 D coupé

Depuis hier elle me regarde avec ses yeux câlins...

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et me montre son petit derrière coquin


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et sa moustache sexy  oups!!!!!!!!!!!!


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Je lui ai mis la plaque qui était sur la 201 puisque le pare-choc provient de cette dernière pour me faire une idée de la forme de la plaque que j'aimerai reproduire . 

Vous pouvez également apercevoir les essuies-glace . 
A ce sujet ce fut un événement familial avec tambour ,cris et applaudissements et, je le reconnais une petite buée dans les yeux , lorsqu'ils ont re-fonctionné parfaitement  depuis ......tant d'années .

Et pour entretenir la rubrique nostalgie quelques photos 


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Dis donc tu n'as pas trainé pour le remontage !!

et je te comprends

Beaucoup de chemin parcouru.....bientôt 

j'ai pot pu attendre. Un petit tour chez l'installateur sanitaire , cintrage en deux coups de cuillère à pot, chat pot , et c'est pot moche.

Premier essai pas bon , recoupe et re-soudure , et nickel en place . 

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... c'est beaucoup mieux !! 

Vive les cintreuses!   ....et un bon bout de tuyau de chauffage.......

Et les gaz n' ont qu'à bien se 'tenir'...!

Bravo Rémy : v'la un bon tuyau   ! On peut copier ? ... :cofe:

si ça peut aider, j'ai retrouvé ces photos :
 1) pour 301 6 glaces
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2) pour 201 BR

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J'ai trouvé une jolie petite place pour ranger mes fusibles ; ils sont escamotables pour faciliter l'accès de la batterie.J'ai des 5 et 10 A

Il me reste a habiller la boite de rangement de la batterie. 

Le faisceau électrique avance bien grâce aux conseils de Thiric et Alain(s) C'est là que l'on apprécie le forum !

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je n'ai jamais vu des fusibles comme ceux-là sur une voiture , mais si ça fonctionne why not !!

.... et le disjoncteur différentiel 30 mA, tu vas le mettre où ??  :355:

rémy a écrit:

J'ai trouvé une jolie petite place pour ranger mes fusibles

le 09/05/2015, dans le sujet [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

rémy a écrit:

Je dispose d'un rail avec des fusibles à poussoir

C'est bien ce que je craignais depuis ce post mentionnant 'fusibles à poussoir'. 
Il ne s'agit pas de fusibles mais de disjoncteurs thermiques qui peuvent être réarmés après déclenchement (et évidemment suppression de la cause du déclenchement).
S'ils offrent une protection comparable à celle des fusibles de même intensité, ces appareillages sont totalement anachroniques avec ta si belle auto 
Une boîte à fusibles en Bakélite voire matière plastique noire d'accord, mais là rémy, tu me fends le coeur...  

Qui plus est, le choix de l'emplacement n'est pas judicieux.
Il faut choisir un endroit :
   - au sec à l'abris de toute projection,
   - facilement accessible (dépannage rapide),
   - qui allongera le moins possible la longueur des conducteurs 
etc...

... j'ai ce genre de truc sur ma Caterham, ça me pourrit la vie !! (et pourtant ce sont des modèles spécialement adaptés "automobiles" ...)

Soyons au 'courant ' ....!   --> Et suivons le fil....du dernier  'branchement'  proposé  !

--> Des fusibles ? ~~~> Ne poussez pas ! ....( sauf notre 01  pour la faire démarrer éventuellement  ! ) :humour:

*** D'origine nous avons :    ••••> 1 fusible  'rond' pour protéger notre dynamo
                                                  ••••> 2 fusibles ' ronds ' posés sur le silent bloc AR gauche pour le circuit AR , plafonnier..

===>  On peut  'sécuriser' les lignes d'éclairage ( veilleuses/ codes/ phares/clignotants,ou warning ...)  
===>  Une  barette noire toute simple à 3 fusibles classiques est bien suffisante !
===>  La mettre le plus près possible  du 'répartiteur' en bout de boitier de direction __ sur la joue d'aile int. gauche __
===>  Résultat : économie des fils à rajouter , accès direct pour le contrôle et discrétion valable ?

Tout à fait AL3 !

ne vous acharnez pas sur notre Remy
Il veut rouler après tant d'efforts, il ne sera jamais trop tard pour optimiser ces petits détails...

2gx a écrit:

ne vous acharnez pas sur notre Remy

Ce n'est pas du tout mon intention.
Mon seul souci est de l'aider à faire au mieux pour ne pas commettre d'erreur techniques (et de goût).

Courage rémy, tu es au bout !

Quelqu'un pourrait-il me dire quel est la bonne position de l'allumeur pour un calage optimal de l'avance à l'allumage avec le câble de la tirette  ?

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Tu cales simplement ton allumage en mettant le correcteur sur la position du milieu.
Comme çà ensuite tu peux mettre de l'avance ou du retard à l'allumage.

Pas tout a fait d'accord ;tu met ta tirette a plein retard quand tu fait ton callage initial ,ce qui fait qu'en marche normal position millieu tu as toujours un peu plus d'avance ;ces moteurs fonctionnent bien mieux avec l'essence moderne qui permet de donner de l'avance ;apres tu n'as pas a corriger l'indice d'octane etant partout le meme y compris dans le gewurtztraminer !

 C'est le métier qui parle ...

A quoi sert le réglage manuel, le calage sur le volant moteur ne prévoyait-il pas une avance optimale ? Et dans quelle circonstance donnait-on du retard à l'allumage  a part faire péter le pot d'échappement ?

Ce système de 'réglage ' ( on pouvait mettre de l'avance ou du retard ..) date des années # 1930 

A l'époque..! ..les essences (vendues dans le commerce courant ) avaient , selon les 'distributeurs ' des indices d'octane totalement différents !
On était donc obligé d'ajuster le point d'allumage chaque fois que l'on changeait de pompiste ! (vendant des essences d'indice très variable !)

Et pour cela fut mis en place ce système certes 'archaïque'  , mais correspondant à une nécessité du moment !


Il va sans dire que cette époque est révolue !


*** Mais on peut s'amuser avec ce réglage !... ( et mettre un peu de retard  en cas de départ difficile ou d'hiver rude ..)
*** Sinon : ne changez rien !

mais il n'ecoute pas l'ami remy !

je ne connaissais pas les détails sur le sujet de l'essence

J'ai trouvé ceci sur le net :

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1° La qualité des carburants:

Les combustibles offerts au grand public en 1934 et 1935 sont les suivants:   L’essence minérale extraite de la naphte, c’est à dire du pétrole brut, a un pouvoir calorifique très élevé, un point d’inflammabilité très bas, et serait donc un combustible idéal si elle résistait bien au phénomène de détonation, c’est-à-dire si elle supportait des compressions élevées sans donner le phénomène d’autoallumage.   Le benzol extraite de la houille a un pouvoir calorifique très élevé, un point d’inflammabilité assez bas, est donc un combustible de grande qualité. Mais ne pouvait être employé qu’à des occasions exceptionnelles au milieu des années ‘30, étant assez rare, sa production étant en relation directe avec l’extraction de la houille, laquelle était largement insuffisante pour pouvoir fournir des quantités de benzol adéquates. La France des années ‘30 devait même recourir aux benzols allemands, et c’était par conséquent un combustible très cher et trop cher pour l’utiliser à l’état pur.   L’alcool fabriqué à partir de la betterave a un pouvoir calorifique d’à peu moitié moindre que celui de l’essence. Mais c’était néanmoins un combustible remarquable, surtout par son pouvoir antidétonant très efficace: il supportait jusqu’à 15 kilogrammes par centimètre carré de pression sans détoner et pouvait donc développer une grande puissance à forte compression. De plus, il avait le pouvoir de s’opposer à toute dépose de calamine dans les moteurs, cette calamine qui fut un des gros problèmes mécaniques d’avant-guerre. Il avait en outre le gros avantage d’être un « combustible national », car poussant sur les terres françaises, il était supposé rendre la France indépendante des importation de carburant.   On trouvait donc dans le commerce ces trois combustibles (en fait quatre comme nous le verrons plus loin avec le carburant Diesel) soit à l’état pur (combustible dit unitaire), soit à l’état de mélange (combustible dit binaire), soit à l’état de mélange avec une substance empêchant la séparation des deux combustibles principaux(combustible dit ternaire).       En 1934 du point de vue pratique on avait la situation suivante:   L’essence dite de tourisme était généralement unitaire, parfois binaire, renfermant donc un autre combustible: du benzol parfois, mais plus souvent de l’alcool dans la proportion légale de 11 à 13 %. Dans l’un et l’autre cas, le liquide était pratiquement incolore, tirant parfois sur une légère teinte jaune paille qui provenait de la petite quantité d’alcool qu’il renfermait.   C’était l’essence « ordinaire » convenant à la majorité des voitures de l’époque. Son prix en 1934: 2 Francs par litre.   L’essence dite de poids lourds était toujours binaire, elle renfermait obligatoirement une forte proportion d’alcool de 25 à 30 %. Afin que le consommateur ne la confonde pas avec l’essence de tourisme, elle était toujours colorée par 0,5 g/100 litres d’un produit chimique, la Rhodamine B. Sa teinte était rose quand on l’examinait par transparence dans un verre et jaune orangé quand on le regardait par sa surface.   Elle convenait parfaitement pour les voitures ayant un moteur « un peu plus poussé » ainsi que pour les camions fonctionnant avec un moteur à essence. Son prix en 1934:1,57 Francs par litre.   A noter que le terme d’essence « poids lourds » n’avait pas son origine dans l’utilisation par les moteurs de camions, mais par le poids spécifique plus important dû à sa teneur en alcool.   La distinction entre l’essence tourisme et essence poids lourds était donc assez facile, puisque la première était toujours sensiblement incolore et que la seconde était roseorange. Contrairement à aujourd’hui, les conducteurs disposaient de la meilleure qualité d’essence à moindre prix.   L’essence dite « supercarburant » était binaire ou ternaire et supprimait le cognage des moteurs à grande compression et permettait de hauts rendements sans cet autoallumage néfaste.   Les supercarburants étaient fort recherchés par les automobilistes dont le véhicule disposait d’un moteur poussé, ayant monté par exemple une culasse en aluminium SPEED comme sur la 11AL de François Lecot, lequel favorisait le supercarburant de couleur verte « Pégase » de la C.I.P. Leurs prix étaient plus élevés que ceux des autres carburants: 2,20 Francs par litre.   Ces supercarburants ayant été nouvellement créés fin de l’année 1933, les producteurs voulaient évidemment se distinguer par rapport à leur concurrence. Et comment le faire mieux que par la couleur, puisque les composants chimiques étaient évidemment les mêmes. (Voir plus loin)

Il faut toujours citer ses sources : http://www.ac-good.com/tractionavant1934/index_fichiers/carburants_annees_30.html

Voilà une bonne Affaire....? N'est ce pas JL.?

Très bien dit  bien sûr ..

A ..ffaire ...?...comprendre à tous nos 01 ( anciens ? Bof! & nouveaux Bof aussi ! )

 ~~> Ça coule de source !

~~~> Oh la la diront certains : encore des choses à LIRE ...!  

merci thiric 

les autres informations à lire sont également pertinentes

Pour le démarrage ça va mieux en plein retard, sinon, ça produit aucun effet sensible en marche sur ma D.

Moi je suis réglé optimal au point milieu, je ne touche jamais à l'avance sauf lorsque je marche à l'éthanol pur et là on voit l'effet !
Cependant j'ai arrêté la voiture ne "tire" pas suffisamment, ça marche bien , mais pas top, malgré l'avance modifiée

... quand j'emmène ma tendre épouse, je mets de l'avance! Elle est toujours en retard ! 

et c'est la dispute et tu te retrouves au point mort haut

Une remarque pour nos compagnes ..( les 01 bien sûr ! )

De l'avance ?...  Du retard ?...

Bof le principal c'est d'allumer au bon moment ..!  

Comme disait San Antonio ( Frédéric Dard  )  ~~>.......... Il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l'on peut faire le soir même  .........

je suis en train de régler mon allumage mais comme je ne peux accéder pour le moment à mon espace membre   pouvez vous me confirmer que le cylindre 1 au point mort haut préconisé pour le calage est bien celui qui se trouve vers l'avant côté ventilateur ?

OUI

Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeessssssss!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Le moteur a démarré !!!!! Après une heure de pets et de fumée à faire s'évanouir les militants anti-pollution  le moral était au plus down !

Mais grâce au tuto que m'avais envoyé Jean Louis en MP pour régler l'allumage, j'ai remarqué que la position de l'allumeur était inversé au mien. J'ai donc sorti la tige sous l'allumeur et l'ai retourné d'un demi tour ( il n'y a pas de détrompeur côté bas moteur, seulement côté allumeur. )

Réglage de l'allumage et ohhhh   bonheur suprême , délice des mirettes, jubilation des naseaux , inspiration orgasmique de  fumée bleue et ce bruit doux et chant mélodieux de la danse du ballet du 4 temps d'une autre époque.

Elle a immédiatement tournée comme une horloge suisse... pardon française.

Seule ombre est une fuite due à une fissure sur le couvercle sous la pompe à eau que je devrai démonter et souder. Mais ce n'est rien car le moral est au beau fixe.

content pour toi rémy !

Bien vu Rémy!

pour ta fuite tu peux aussi utiliser "temporairement" un mastic métal après avoir bien meulé la plaie , mon carbu de 601 a été "réparé" de la sorte il y a 7 ans et ça tient encore

Bravo l'ami, l'essai routier est pour bientôt ?